Diagnostic différentiel

L’utilisation de ces organigrammes n’est possible qu’après recueil des commémoratifs et de l’anamnèse du ou des animaux malades, ainsi qu’après un examen clinique, général et neurologique, complet et rigoureux.

Il est possible qu’à l’issue de l’usage de ces organigrammes dichotomiques, l’utilisateur aboutisse à un diagnostic différentiel, et non à un diagnostic de certitude. Dans certains cas, le diagnostic de certitude ne peut être obtenu qu’après un ou des examens complémentaires (analyse histopathologique, biochimie, numération formule…)

Les organigrammes dichotomiques présents dans cette thèse ont été élaboré sur la base de données bibliographiques dont les sources sont sérieuses, et dont les données ont été croisées pour s’assurer au mieux de l’exactitude des informations.

Cependant, une démarche diagnostique reste multifactorielle et bien plus complexes que ce que des choix dichotomiques peuvent représenter, ces organigrammes restent donc une aide mais ne peuvent se substituer au bon sens clinique d’un praticien, et doivent toujours être considérés comme un outil supplémentaire, mais néanmoins faillibles.

Comme tout outil synthétique, et face à des cas de biologie pouvant être atypiques, ces organigrammes peuvent présenter des erreurs ou des approximations, et l’utilisateur doit toujours garder un regard critique envers eux.


Légende des organigrammes dichotomiques

Organigramme n°1

Des tableaux de diagnostic différentiels sont disponibles page 6 concernant les affections suivantes :

  • Méningites
  • Nécrose du cortex cérébral
  • Listériose
  • Rage/Maladie d’Aujeszky/Méningo-encéphalite à Herpesvirus Bovin